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#introspection

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I have moments of doubt where I'm not sure if I come across more as a highly dynamic personality or as an eccentric.

The wife of my old friend and supervisor once told someone that "Ah yes, Martin is one of those people that you absolutely loathe at first, but then you grow to like him quite a lot".

The Mind as Semi-Solid Smoke

This post continues the series on Socratic Thinking, turning the space-and-place lens inward to examine the mind itself. Human minds can be thought of as an imperfect place with the ability to create their own insta-places to navigate ambiguity. 

On the Trail (1889) by Winslow Homer. Original from The National Gallery of Art. Digitally enhanced by rawpixel.

Exploration in any real or conceptual space needs navigational markers with sufficient meaning. Humans are biologically predisposed to seek out and use navigational markers. This tendency is rooted in our neural architecture, emerges early in life, and is shared with other animals, reflecting its deep evolutionary origins 1,2 .  Even the simplest of life performing chemotaxis uses the signal-field of food to navigate. 

When you’re microscopic, the territory is the map; at human scale, we externalise those cues as landmarks—then mirror the process inside our heads. Just as cells follow chemical gradients, our thoughts follow self-made landmarks, yet these landmarks are vaporous.

From the outside our mind is a single place, it is our identity. Probe closer and our identity is nebulous and dissolves the way a city dissolves into smaller and smaller places the closer you look. We use our identity to create the first stable place in the world and then use other places to navigate life. However, these places come from unreliable sources, our internal and external environments.  How do we know the places are even real, and do we have the knowledge to trust their reality? Well, we don’t. We can’t judge our mental landmarks false. Callard calls this normative self-blindness: the built-in refusal to saw off the branch we stand on.   

Normative self-blindness is a trick to gloss over details and keep moving. Insta-places are conjured from our experience and are treated as solid no matter how poorly they are tied down by actual knowledge. We can accept that a place was loosely formed in the past, an error, or is not yet well defined in the future, is unknown. However, in the moment, the places exist and we use them to see. 

Understanding and accepting that our minds work this way is a key tenet of Socratic Thinking. It makes adopting the posture of inquiry much easier. Socratic inquiry begins by admitting that everyone’s guiding landmarks may be made of semi-solid smoke.

1Chan, Edgar, Oliver Baumann, Mark A. Bellgrove, and Jason B. Mattingley. “From Objects to Landmarks: The Function of Visual Location Information in Spatial Navigation.” Frontiers in Psychology 3 (2012). https://doi.org/10.3389/fpsyg.2012.00304

2Freas, Cody A., and Ken Cheng. “The Basis of Navigation Across Species.” Annual Review of Psychology 73, no. 1 (January 4, 2022): 217–41. https://doi.org/10.1146/annurev-psych-020821-111311.

Pourquoi ne rien faire peut être l’une des meilleures choses à faire

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Et si “ne rien faire” était une forme de sagesse ? Dans un monde qui valorise l’agitation et la performance, il devient urgent de réhabiliter le vide, le silence, la pause. Voici une réflexion personnelle sur ce luxe discret mais nécessaire : celui de s’arrêter pour mieux vivre.

Pourquoi ne rien faire peut être l’une des meilleures choses à faire

On considère souvent que ne rien faire est une mauvaise chose. Une chose qu’on ne peut se permettre. On l’associe à la paresse, à un mal-être potentiel, voire à un risque de dérive physique ou psychologique.

Et pourtant, ce discours commence à vaciller, mis à l’épreuve par les maux modernes comme le burnout, le surmenage ou la surcharge — qu’elle soit professionnelle ou personnelle. Des maux qui ont désormais des mots. Ils sont nommés, reconnus, médicalisés.

Personnellement, j’ai longtemps douté. Il m’arrive encore de me montrer sceptique quand j’apprends que telle ou telle personne est en burnout et ne peut plus travailler. Dans mon petit univers, j’ai tendance à considérer que c’est une question de mauvaise organisation, de mauvaise priorisation, d’un manque de professionnalisme ou de résilience. Bref, une faiblesse.

Mais ce jugement est facile lorsqu’on n’a jamais été confronté à cette réalité. Et pourtant, petit à petit, on apprend. On apprend que ce rythme sans pause qu’on s’impose — ou qu’on nous impose — mène au mal-être. Qu’il faut apprendre à le reconnaître, à le traiter, et, autant que possible, à l’éviter.

Il n’y a pas de solution miracle. Chaque personne a sa propre voie. Je n’énumérerai pas ici les mille et unes activités qui permettent de « se reposer en faisant ». Ceux qui ont la chance d’en disposer n’ont pas besoin qu’on leur donne ces conseils. Les autres, eux, cherchent du temps, cherchent la vie, ou un moyen de s’y raccrocher.

Moi, j’aime écrire. Donc j’écris. Ce temps est un plaisir. Certains aiment pêcher, d’autres chasser. J’éprouve aussi le besoin, parfois, de ne rien faire. Ce luxe que je m’accorde, quand je le peux, me plonge dans un état où mes pensées s’ordonnent, où mes souvenirs remontent, où le temps n’existe plus. Un état suspendu. Et grâce à lui, je reviens plus lucide, plus aligné : prêt à affronter, organiser, avancer.

On me dira peut-être : “tu ne fais pas rien, tu penses”. Et c’est là que réside, à mes yeux, le vrai malentendu. L’expression “ne rien faire” ne devrait pas s’appliquer à l’humain. Dormir, c’est se réparer. Penser, c’est se reconstruire. Le véritable “rien”, c’est l’absence de vie. C’est la mort.

Alors oui, ne rien faire est peut-être la meilleure des choses, pour qui aime la vie. C’est faire quelque chose qui n’existe pas, mais qui a pourtant un pouvoir immense.

On pourra y voir une excuse commode à l’apathie. Mais chacun doit réfléchir à ce que signifie vraiment “vivre”. Et on aurait manqué de bien des idées précieuses si certains penseurs n’avaient passé une grande partie de leur vie à “ne rien faire”, selon certains regards.

Il est essentiel de consacrer des moments à ce qui, pour vous, représente ce “rien”. Se dire “aujourd’hui, je ne fais rien”, c’est parfois décider de penser, de prioriser, de prendre du recul. C’est un temps de vie dans sa forme la plus pure, la plus nue.

Savoir s’arrêter, profiter, dire stop : c’est refuser de passer sa vie… à côté de sa vie. Si votre seul moment de la semaine à passer en famille est le samedi soir, alors ce moment est sacré. Si vous vous sentez oppressé, alors prenez le temps de respirer — le temps qu’il faut — pour vous sentir à nouveau vivant.

Il n’y a pas de remède à quelque chose qui n’existe pas. Ne pas avoir le temps de ne rien faire, c’est peut-être ne pas avoir le temps de vivre.

Alors oui : vivre pleinement, profondément, consciemment… Voilà peut-être la meilleure décision à prendre aujourd’hui.

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